dimanche 29 mars 2015

L'UGEF renouvelle son Conseil d'Administration et nomme Gérard VAUCOULEUR en qualité de Président

Communiqué de l'UGEF


Le Conseil d’Administration de L’UGEF , Union des Groupements d’Employeurs de France, vient d’adapter son organisation à la mise en œuvre de son projet d’action stratégique tel qu’ adopté lors de sa dernière AG autour de trois axes :



 A1. Contribuer au développement de l’innovation sociale au service des territoires, des entreprises et des personnes.



 A2. Construire et proposer une offre de services en réponse aux besoins des GE de France.



 A3. Qualifier l’organisation des GE par la professionnalisation des acteurs (permanents GE et personnel mis à disposition).



Le conseil est ainsi constitué au 19.03.2015 :



Président : Gérard VAUCOULEUR (idées- Reims)


Vice présidente, chargée de la formation et de la professionnalisation des acteurs Anne Marie MOYA ( Partage RH -Grenoble, Présidente sortante de l'UGEF )

Vice présidente chargée de l’innovation Sociale Josette MAYEUR (Personne Qualifiée)

Vice président, chargé de la communication et du développement Philippe BENITO (Métiers partagés – Blois)

Trésorier : Tayeb BELBOUAB (Les Unis Verts – Paris)

Secrétaire : Dominique LEDEME (GEDA 51- Reims) 

Autres administrateurs : les Groupements d'Employeurs Alisé (Châteauroux), ISOCEL (Tours), la Fédération Française des groupements d'Employeurs de Judo (Paris) , C2A (St Sever) et TLA (Gironde).


Le conseil assure dorénavant une représentation des GE du secteur marchand sectoriel et multisectoriel, du Sport, du monde Associatif et de celui de l’économie sociale et solidaire, du secteur rural et agricole, ainsi que d’organisations collectives (CRGE, Fédérations…).
Représentant national des GE depuis plus de 15 ans, l’UGEF est et sera force de proposition auprès des ministères pour contribuer efficacement au développement économique et de l’Emploi tout en préservant le statut social protecteur des groupements d’employeurs nés en 1985 .
L’UGEF s’attachera plus particulièrement à appuyer et soutenir le modèle économique spécifique des groupements en lui conférant un « label » qui garantisse le respect de la bonne application de la Loi et de notre éthique.


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Portrait du nouveau Président Gérard VAUCOULEUR

64 ans,

-Administrateur du GE IDEES ( REIMS , multisectoriel )
-Membre du Comité Economique Social et Environnemental  Champagne Ardenne (CESER) , en qualité de personnalité extérieure à la section emploi-formation,
-Administrateur de l’association des entreprises d’Ecoparc de REIMS,  ECORES  ( en charge du cycle de conférence et des visites d’entreprises )
-Président d’honneur de l’AFDET Champagne Ardenne ( Association Française pour le Développement de l’Enseignement Technique )

Dans sa carrière professionnelle Gérard Vaucouleur a occupé les fonctions suivantes :

-Directeur régional de l’AGEFOS PME Champagne Ardenne de 1979  ( création ) à 2010 (départ en retraite ), en charge au plan national de l’AGEFOS PME du plan d’égalité professionnelle  Hommes- Femmes  ( à l’interne du réseau Agefos et externe pour les entreprises adhérentes ( 2005- 2010 )) , et du plan handicap ( 2009-2010)
-Président régional de l’AFDET  ( 1987 – 2014) et trésorier national pendant 15 ans,
-Commissaire régional de la société d’encouragement aux métiers d’art ( SEMA ) ( 1988- 2013 )
-Secrétaire général régional de la CGPME Champagne Ardenne ( 1979- 1988)

Il a été  à l’initiative, dans le cadre de l’Agefos PME Champagne Ardenne de la création de 3 GE marchands multisectoriels ( Marne , Aube et Haute Marne ) et 2 GE Associatifs (Marne et Aube)

jeudi 26 mars 2015

Le Ministère de la Culture organise un colloque sur les groupements d'employeurs

Communiqué du collectif groupements d'employeurs Culture

Bonjour ​à toutes et à tous, ​

Comme vous le savez, nous fêtons en 2015, les 30 ans de la première loi sur les Groupements d’Employeurs !

Ce dispositif innovant  peu connu et utilisé dans le secteur culturel et socioculturel, s’inscrit à la croisée de plusieurs enjeux :

  • ​loi de sécurisation des parcours professionnels, réforme sur les rythmes scolaires, nouvelles règles de l’assurance-chômage…​ ​
 Communiqué des Groupements d'Employeurs Culture

En prolongement des rencontres nationales du Havre fin 2014, un temps fort est prévus pour sensibiliser à ce dispositif :

Vendredi 27 mars de 15H30 à 17H, Paris

Atelier « Coopérer autour de l'emploi culturel, l'exemple des groupements d'employeurs dans le cadre du Forum Entreprendre dans la culture »
Organisation : Ministère de la Culture (DGMIC)




Plus tard, courant mai, nous mettons en place le groupe de travail sur les GE culture dont vous trouverez toutes les infos sur le site : www.federonslesgeculture.com


A très bientôt !

Co-organisation : Opale/CRDLA Culture et Mezzanine Admin (GE cinéma et spectacle vivant), Paris Mix Group’Emploi (GE culture), avec le soutien  d'Arcadi, du ​Fonds régional pour le développement de la vie associative Île-de-France en partenariat avec l’UFISC, le RIFl’Atelier, l​a COFACRAVIVSYNAVIFedelima

Réjane SOURISSEAU
Delphine BLONDIN
Dalila BENFEDDA-MEAQUOUL

Le GEIQ Artois Littoral recrute 24 guides pour transporter les touristes à Paris

Extrait de la Voix du Nord

Ils étaient sur le carreau, ils sont aujourd’hui des acteurs du tourisme parisien. Après avoir été formés sur le campus Euralogistic, vingt-quatre ch’tis ont été embauchés comme conducteurs de bus de touristes dans la capitale au terme d’une campagne de recrutement de longue haleine.




De quoi s’agit-il ? Chaque année, l’Open Tour, une des entreprises qui propose de faire visiter la capitale à bord de ses célèbres bus jaunes, recrute. Et cette fois-ci, c’est le public ch’ti éloigné de l’emploi qui a été ciblé. Un défi de taille car ce n’est pas forcément le plus enclin à bouger géographiquement... L’idée de départ : « Prendre des gens en situation d’échec professionnel et les positionner sur une formation qualifiante qui débouchera sur un vrai métier », résume Patrick Leleu, président du GEIQ, le groupement d’employeurs pour l’insertion et la qualification du transport et de la logistique (lire encadré ci-dessous).
En fait, l’Open Tour et le GEIQ sont partenaires depuis 2013. Cette année-là, 12 de ses conducteurs avaient été recrutés par l’intermédiaire du GEIQ. La mayonnaise a bien pris : «Les gens qui venaient du GEIQ arrivaient en tête de tous nos critères de satisfaction », souligne Fabrice Bayon, directeur de l’Open Tour.
Un recrutement de longue haleine. Conducteurs du dimanche s’abstenir. Guider les touristes, dans Paris qui plus est, c’est un vrai boulot qui exige des compétences bien spécifiques. Les 24 chauffeurs ch’tis ont été recrutés sur un semestre, de septembre à mars. Une période relativement longue, mais trouver les profils idoines n’était pas une mince affaire. « Il fallait trouver des candidats acceptant non seulement une mobilité professionnelle mais aussi géographique, souligne Karine Silvert, directrice de Pôle emploi Hénin-Beaumont. Ce n’est pas simple, mais ils l’ont fait et je leur dis bravo ! »
Quel contrat ?Il fallait quatre pré-requis : avoir plus de 21 ans, être titulaire du permis B, être immédiatement disponible, et ne pas avoir peur... de vivre à Paris. Après une première sélection, 24 candidats ont été validés qui ont démarré 210 heures de formation préalables à l’obtention d’un contrat de professionnalisation. Et la semaine prochaine, ils sont au volant !


mardi 24 mars 2015

Gironde Emploi Agricole s’implante en terres libournaises au service des grands Chateaux de St Emilion

Le Groupement d’Employeurs viticole Gironde Emploi Agricole, créé en 1996 et historiquement implanté en Pessac-Léognan (1), a ouvert le 1er janvier 2015 un nouveau GE viticole situé à Libourne (2).

«  Ce groupement d’employeurs, comme celui de Léognan, est avant tout une demande des châteaux. Plusieurs multi- propriétaires, avec qui l’on travaillait déjà à Léognan, souhaitaient  retrouver le même service sur Saint-Emilion et Pomerol» précise la directrice Mathilde Poitevineau. Parallèlement à cette volonté patronale, le groupement s’est aussi constitué sous  l’impulsion des chefs de culture.  « Ils avaient l’habitude de travailler avec nous en Pessac-Léognan,  et en passant en territoire libournais, ont fait adhérer leurs nouveaux employeurs au GEA. »
« Comme à Léognan, nous nous positionnons sur des adhérents haut de gamme, pour la plupart en cru classé. Cela nous permet de faire un travail qualitatif, sur le long terme, qui valorise toute la filière. Notre future certification ISO 9001 apportera une visibilité supplémentaire au GEA. » poursuit Mathilde Poitevineau.

L’intérêt est d’offrir à des salariés, souvent saisonniers, une stabilité professionnelle via le groupement. 35 salariés sont actuellement en poste sur une vingtaine de châteaux, et plusieurs CDI seront signés dans les semaines à venir. Les efforts de formation sont conséquents (en tractorisme, management, taille…) et les possibilités d’évolution réelles. «  Nos chefs d’équipe pour la saison 2015 sont d’anciens ouvriers que nous avons formés et qui ont su démontrer leurs qualités de management ». conclut Mathilde Poitevineau. 

Les effectifs de l’association devraient atteindre 130 personnes durant les travaux en vert et les vendanges.



Jessica Montillaud, chargée des ressources humaines, v accueille les adhérents et les salariés du GEA Libourne du lundi au vendredi.





(1)    GIRONDE EMPLOI AGRICOLE- ZI La Rivière- 18 rue Gustave Eiffel- 33850 LEOGNAN

(2)    GIRONDE EMPLOI AGRICOLE LIBOURNE- 114 ter Route de Saint-Emilion- 33500 LIBOURNE


www.gea-geca.com

vendredi 20 mars 2015

Après la création du nouveau syndicat national des groupements d'employeurs où en est-on sur le front de la représentation des groupements d'employeurs


C’est un vendredi 13 de 2015 que le Syndicat National des GE à été fondé dans les locaux de la Maison de Bretagne à Paris par 22 GE représentants 12 régions et 4 secteurs d’activité, en présence d'une trentaine de personnes.

C’est dans une ambiance détendue mais studieuse et avec des débats très riches (objet, statuts, cotisation, gouvernance et objectifs) que le SNGE a été fondé le vendredi 13 mars 2015.
Le CA du nouveau syndicat élu à l’unanimité est composé par les GE ( Note CR: en grande majorité Bretons) suivants : 
ADELIANCE, PROGRESSIS, CORNOUALIA, SOLUTIONS COMPETENCES, GEM DEMAIN, HELYS, AGE, GE INTERPRO, TERRALLIANCE, GE/GEIQ 47, VENETIS & ALLIANCE EMPLOI.
Les cotisations du nouveau Syndicat ont été fixées (sur la base du d’EQTP au 31 décembre de l’année précédente sur la base de la DADS) :
  • 0 à 10 EQTP  :  250 €
  • 11 à 20 EQTP : 500 €
  • 21 à 50 EQTP : 750 €
  • 51 à 100 EQTP : 1000 €
  • 101 et plus : 2000 €

Où en est t-on sur le front de la représentation des groupements d'employeurs ?

Le moins que l'on puisse dire c'est que c'est compliqué !

Trois fronts se dégagent :

1- Celui des syndicats (FNGE, SNGEM, SNGE)

Créés sous la forme de syndicat Loi 1884, ils ont vocation à négocier des accords mais aussi à défendre leur adhérents devant des tribunaux comme les prud'hommes. La Loi a fixé les critères de leur mesure d'audience et de représentativité.

Il faut au minimum 8 % des entreprises adhérant à une organisation professionnelle d’employeurs pour que cette dernière soit représentative (soit environ 500 GE si les ces deniers étaient considérés comme un "branche professionnelle" ce qui n'est pas le cas aujourd'hui). La certification des comptes  obligatoire assure à la fois la transparence financière et la connaissance du nombre d’entreprises adhérentes et de leur poids en salariés.
Les autres critères de représentativité fixés par la loi sont les mêmes que ceux applicables aux organisations syndicales de salariés :
- au niveau de la branche, disposer d’une implantation territoriale équilibrée ;
- au niveau national et interprofessionnel, avoir des organisations adhérentes représentatives à la fois dans des branches de l’industrie, de la construction, du commerce et des services.
- au niveau national et multiprofessionnel, pour ce qu’on appelle le « hors champ » (c’est-à-dire non adhérents au Medef ou à la Cgpme), il faudra notamment disposer d’organisations adhérentes représentatives dans au moins dix branches professionnelles relevant soit des activités agricoles, soit des professions libérales, soit de l’économie sociale et solidaire (ESS), et non couvertes par les organisations professionnelles d’employeurs représentatives au niveau national et interprofessionnel.
La première mesure d’audience s’effectuera en 2017, et ensuite tous les quatre ans.
A ce jour aucun des 3 syndicats , dont certains sont concurrents, et qui visent à représenter toutes les formes de groupements d'employeurs -GEIQ, agricoles, multi sectoriels, etc.-, ne répond (très loin s'en faut...) à ces critères légaux de représentativité. Les 3800 GE agricoles n'ont pas, pour leur part, créé de syndicat et s'appuient sur la FNSEA, qui est représentative au plan national agricole, avec laquelle les organisations syndicales de salariés ont signé un accord de branche sur les groupements d'employeurs agricoles et ruraux, étendu par le Ministère.

2- Celui des Fédérations (UGEF, FNGEAR, FNSR, FFGEIQ, FNPSL)
Beaucoup plus anciennes que les trois récents syndicats sus-visées, les fédérations nationales, constituées sous forme d'association Loi 1901, regroupent un très grand nombre de groupements d'employeurs, toutes formes juridiques confondues, dans toute la France et dans toutes les branches professionnelles.
Ces Fédérations, spécialisées par typologie de groupement d'employeurs, entretiennent des relations entre elles, avec plus ou moins d'intensité, depuis de nombreuses années et ont pour missions principales d'accompagner leurs adhérents et de faire du lobbying auprès des différents Ministères avec lesquels ils travaillent dans des cadres établis (conventions, subventions). Les Fédérations Nationales ne peuvent, contrairement aux syndicats, négocier des accords ou représenter leurs membres devant des tribunaux.

3- Celui des CRGE
Les Centre Ressources des Groupements d'Employeurs, constitués sous la forme d'associations Loi 1901, se déclinent sous diverses formes comme les CRCE-GEIQ ou les nombreuses Fédérations Régionales de GE dans le secteur agricole ou sportif.
Leur financement est en règle générale principalement assuré par les Régions dont le nouveau découpage a été voté et qui entraînera donc la modification de leur périmètre, avec quelques fusions à prévoir.
Ils ont, comme leur nom l'indique, une mission limitée au soutien et au développement des GE de leur Région bien que plusieurs CRGE comptent des adhérents en dehors de leur propre région comme c'est de cas du CRGE Poitou Charentes qui organise les 30 ans des Groupements d’Employeurs ou du CRGE de Bretagne dont la quasi totalité des adhérents compose le gros des effectifs du nouveau  syndicat national des groupements d’employeurs.

Prochaine naissance du premier groupement d'employeurs transfrontalier


Mise en place d’un groupement d’employeurs belge dans une perspective transfrontalière


Vous trouverez ci-après une étude passionnante et très documentée financée par l'Europe et des collectivités françaises et belges.

Il nous est expliqué (page 14 et suivantes) que les entreprises françaises peuvent être membres d'un groupement d'employeurs dont le siège est situé en Belgique, organisé sous la forme d'un GEIE.

Tous les cas de figure sont envisagés :

le salarié belge qui va travailler en France
le salarié français qui va travailler en Belgique
- les cotisations sociales
- la fiscalité
- etc...

Un cas à priori transposable à l'Italie, l'Espagne ou même l'Allemagne....

Pour accéder à cette étude :

cliquez ICI



mardi 17 mars 2015

Le Groupement d’Employeurs Profession Sport & Loisirs Méditerranée recherche un agent de développement



OFFRE D’EMPLOI Agent de développement Du Groupement d’Employeurs Profession Sport & Loisirs Méditerranée (GE PSLM) 
Association loi 1901, le GE PSLM a pour but exclusif la mise à disposition auprès de ses membres, associations ou collectivités territoriales, d'un ou plusieurs salariés liés à ce Groupement par un contrat de travail. 
Le domaine d’intervention du GE PSLM, vise tous les emplois dans les secteurs du sport, de l’animation et des loisirs et s’inscrit dans une démarche d’économie sociale et solidaire. Rattaché à la direction, vous serez principalement chargé(e) : 
1) De la prospection, de la promotion et de la vente des services du GE PSLM 
2) De la constitution et de l’animation d’un double réseau : des adhérents utilisateurs et des salariés 
3) De la mise en relation entre les adhérents utilisateurs et les salariés, partant d’une bonne connaissance des besoins de ces deux catégories 
4) De la formalisation administrative des demandes de mise à disposition de personnel 
5) De la préparation et de la gestion des plannings des salariés 
6) De la gestion quotidienne des adhérents utilisateurs et des salariés (congés, absences, formations,…) 
7) De toute autre mission nécessaire au bon fonctionnement du GE PSLM 

Conditions d’emploi : - CDI à temps plein - Groupe 4 de la Convention Collective Nationale du Sport - Rémunération de 1750 euros bruts par mois - Poste basé à Montpellier, déplacements sur l’Hérault et la région Languedoc Roussillon -

Démarrage souhaité : 13 avril 2015

Formation de base : - Niveau BAC + 3 - 1 ère expérience professionnelle souhaitée dans les domaines de la vente et de la gestion des ressources humaines Impératif : - Connaissances de base en droit social - Pratique courante informatique – bureautique - Permis de conduire et véhicule personnel 
Un plus : - Connaissance du secteur associatif et sportif 

Candidature (CV et lettre de motivation) à adresser avant le 27 mars 2015 au Groupement d’Employeurs Profession Sport & Loisirs Méditerranée par courrier (Maison départementale des sports Nelson Mandela, ZAC Pierres Vives, 66 Esplanade de l’Egalité, 34086 Montpellier Cedex 4) ou par mail, à marie.sadourny@gepslm.org

Le Groupement d'Employeurs Mer et Vie recherche 200 collaborateurs en CDD

Extrait du site de Ouest France


Mer et Vie, c'est quoi ?

Mer et Vie est une association, loi 1901, créée en 1998. Elle regroupe 150 entreprises du bassin d'emploi du Pays de Saint-Gilles et ses environs. Issues de secteurs d'activités variés et de tailles différentes, elles se sont associées pour créer un groupement d'employeurs. Cette organisation permet de recruter et partager du personnel que les sociétés ne pourraient engager à temps plein à l'année.


Comment fonctionne le groupement ?

Il est géré par un conseil d'administration présidé par Ken Legargeant, de Cinémarine. Le directeur de la structure, Marc Breffeil, et son équipe de collaboratrices, recrutent des salariés. Quatre-vingts sont actuellement mis à la disposition des entreprises adhérentes. Leur objectif ? Répondre en temps et en heure à leurs besoins tout en assurant le plein-emploi des salariés. Leurs atouts ? Réactivité, souplesse, une bonne connaissance du bassin d'emploi et un réel accompagnement des personnes recrutées.

Pourquoi ces journées de recrutement ?

En raison d'une demande accrue des entreprises. Deux cents postes sont à pourvoir, pour des périodes de deux à six mois et à raison d'un à six jours de travail par semaine. Les secteurs sont diversifiés : 45 % d'offres dans l'agroalimentaire, 30 % en hôtellerie-restauration et services, et 25 % dans le bâtiment travaux publics et l'industrie. Les métiers le sont tout autant : du cuisinier à l'agent d'entretien, en passant par le surveillant de baignade ou le poissonnier, sans oublier les personnels qualifiés de l'industrie et du BTP.

Quel est le profil recherché ?

Qu'ils soient qualifiés ou non, il est essentiel que les candidats aient un projet professionnel : qu'ils sachent clairement ce qu'ils veulent ou ne veulent pas, peuvent ou ne peuvent pas faire. Il est également important qu'ils souhaitent enrichir leurs parcours, soient autonomes, disponibles et adaptables, aient le sens de l'engagement et aiment la diversité des missions.

Comment postuler ?

Les candidats sont attendus en nombre, par l'équipe du groupement Mer et Vie au complet, vendredi 20 mars, de 13 à 19 h, et samedi 21, de 9 à 13 h, avec leur CV et objectifs professionnels. « Tous les candidats seront reçus en entretien le jour J ou obtiendront un rendez-vous dans la semaine qui suivra. Et tous auront une réponse personnalisée, par mail ou téléphone, dans les deux semaines qui suivront les journées portes ouvertes », précise Marc Breffeil.



Groupement Mer et Vie, 50, rue des Couvreurs, zone industrielle de la Bégaudière, Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Tél. 02 28 10 04 20. Site : www.groupement-mer-vie.fr

dimanche 15 mars 2015

Retour d'expérience : le Groupement d'employeurs Objectif Plus se développe rapidement dans les Alpes de Haute Provence

Rencontre avec le Groupement d'employeurs Objectif Plus des Alpes de Haute Provence (1)


Rencontre ac Florence Aberlenc, directrice de Objectif Plus Emploi (Profession Sport & Loisirs 04). L'occasion d'un tour d'horizon de l'activité et du développement de ce groupement d'employeurs.



Nom : Groupement d'employeurs Objectif Plus Emploi (Alpes de Haute Provence)


Date de création : 2008


Nombre de salariés : 150 (22 ETP)


Nombre d'adhérents : 70


 


Pourriez-vous nous présenter votre structure en quelques mots ?


Depuis sa création en 2008, le groupement d’employeurs Objectif Plus Emploi inscrit son action dans un territoire très rural, de montagne et de moyenne montagne. 160 000 habitants seulement peuplent le département ! Avec 70 adhérents, 150 salariés pour 22 ETP, 35 000 heures de mise à disposition, le groupement d’employeurs est devenu au fil des années, un acteur économique à part entière du territoire ! Nous avons su nous adapter à cette situation particulière et aux caractéristiques de l’activité. L’une des particularités de notre groupement d’employeurs est la forte présence, depuis de nombreuses années, de collectivités territoriales. Celles-ci ont des besoins liés à la saison estivale, autour de l’animation et la surveillance des piscines et des plans d’eau. Les relations avec les collectivités territoriales sont excellentes. Nous avons su bénéficier des relations qui avaient déjà été nouées avec l’association Sport Objectif Plus depuis de nombreuses années. Nous apportons une réponse aux besoins traditionnels que nous retrouvons dans les groupements d’employeurs du réseau. Depuis peu, nous nous tournons vers la gestion d’Accueil Collectif de Mineurs en centres de loisirs. En effet sur notre territoire, l’association qui, jusqu’alors, gérait huit centres de loisirs a souhaité réorienter ses actions. Nous avons travaillé pendant un an aux modalités concrètes de reprise de ses activités. Notre solution a été bien appréciée et nous avons désormais la charge de l’animation de cinq centres de loisirs !


Votre groupement d’employeurs fonctionne depuis 7 ans désormais. Quel bilan global tirez-vous ?


Je crois avant tout que la mise en place du groupement d’employeurs a permis de sécuriser les parcours des salariés. Nous savions que le fonctionnement du prêt de personnel dans le cadre de l’association Profession Sport et Loisirs risquait de nous mettre en porte à faux, notamment avec l’inspection du travail. Il a donc fallu faire un choix et nous nous félicitons d’être allés vers le groupement d’employeurs. Désormais, notre fonctionnement est cadré, bordé et nous ne prenons plus de risques, notamment quant au délit de marchandage et à la fiscalité ! C’est un grand confort de fonctionnement ! Cela étant, j’observe que l’aspect sécurisation des mises à disposition prend le pas sur la mutualisation du personnel. Compte tenu de notre territoire, de notre fonctionnement, la mutualisation ne s’impose pas. Mais nous y travaillons ! Et puis le groupement d’employeurs a été un vrai accélérateur de projet. Cela nous a permis de retisser des liens avec les partenaires de l’emploi. Le groupement d’employeurs a initié une vraie politique de développement que nous avons confortée au fil

des années.


Comment cela s’incarne-t-il ?


Je prendrai quatre exemples. 


Le premier concerne les relations avec nos collègues des Hautes Alpes. Les deux conseils d’administration des structures ont acté cette phase de réflexion. Afin de prendre en compte la réalité des deux départements, nous avons entamé depuis 6 mois des échanges, des actions de concertation avec le groupement d’employeurs Sport et Loisirs du 05 afin d’étudier sereinement les possibilités d’un rapprochement. Aujourd’hui, nous réfléchissons à la mutualisation des moyens matériels, à élargir notre territoire d’intervention commun. Nous nous rencontrons tous les 15 jours afin de réfléchir à l’organisation commune que nous pourrions mettre en place. En nous groupant, nous pourrons avoir une offre de service mieux adaptée.


Le second exemple vise notre projet de création d’un groupement d’employeurs pour le secteur marchand. Les activités de pleine nature sont souvent organisées par des structures qui sont assujetties à la TVA. Dans notre cadre de fonctionnement actuel, nous ne pouvons y répondre. C’est pourquoi, nous avons entamé des échanges avec la région PACA afin de mener une étude de faisabilité et de recueil des besoins des acteurs. 


Le troisième est relatif au Groupement économique Solidaire, un GES, que nous avons mis en place et qui fonctionne telle une holding avec

trois filiales : l’une consacrée à l’appui et conseils aux associations, l’autre articulée autour du pôle mise à disposition et la dernière qui concernerait le groupement d’employeurs marchand. Ce GES, constitué sous forme associative, est une structure de mutualisation de moyens. Il permet la mise en place d’une vraie stratégie de groupe. Enfin, le dernier exemple est tourné vers la formation professionnelle. Aujourd’hui, nous avons une offre tournée vers les bénévoles. 


Nous réfléchissons à élargir nos actions de formation vers le

« sport et santé » en proposant des modules complémentaires ou d’adaptation aux salariés. Vous voyez les projets sont nombreux et nous ne manquons pas d’idées et d’ambition ! Et j’aurai pu encore vous parler des parcours que nous avons mis en oeuvre pour les 5 jeunes en emploi d’avenir 


(1) Extrait du site profession sport et loisirs

mercredi 11 mars 2015

Les 9 groupements d'employeurs à l'origine des Etats Généraux tiendront leur AG constitutive à la Maison de la Bretagne le 13 mars 2015


Reproduction intégrale du communiqué

AGC Syndicat National des Groupements d’Employeurs : changement de lieu et d’horaire

Assemblée constitutive de votre syndicat le vendredi 13 mars 2015 : changement de lieu et d’horaire !
Lieu : Paris (heureusement ;o)

Maison de la Bretagne : 8 Rue de l’Arrivée, 75015 Paris (taille de salle insuffisante au CJD)

Horaires : 14 H (& non 12 H 30 en raison des horaires d’arrivée plus tardif de certains GE éloignés)

Conditions d’inscription :

- Être un Groupement d’Employeurs en exercice,
- Être le représentant statutaire et légal ou délégué.

Billetterie en ligne Merci de prendre en compte ces informations et navré pour l’information tardive.

A vendredi – Cordialement

Qui sommes nous ?

Un groupe de travail bénévole constitué de 9 GE (2 000 salariés) & représentants 42 GE (4 000 salariés), ayant pour objectif unique la fondation d’un véritable mouvement de représentation des GE pour & par les GE de France en 2015.

Pour toute question nous contacter - contact@etats-generaux-des-ge.com

mardi 10 mars 2015

La CFE-CGC de Manpower soutient les employeurs pour lutter contre le développement de nouvelles concurrences, notamment des groupements d'employeurs

Reproduction d'un tract de la CFE-CGC en ligne sur internet



Vos élus CFE-CGC pensent que la direction doit affirmer sa volonté de défendre notre cœur de métier : l’intérim responsable

C’est un fait, notre environnement concurrentiel est de plus en plus diversifié.
Il est frontal avec les ETT étrangères qui s’implantent en France ou encore certains nouveaux acteurs français de l’intérim qui misent exclusivement sur le détachement dans un cadre législatif européen qui ouvre les vannes du dumping social. Un détachement qui se développe avec des pratiques commerciales qui intègrent et valorisent des solutions RH low cost.

Cette concurrence existe aussi avec les nouvelles formes d’emploi qui se développent comme le portage salarial ou encore les groupements d’employeurs à qui la crise apporte une nouvelle jeunesse. On est ainsi
passé de 13 000 groupements d’employeurs en 2012 à 35 000 en 2015.
Dans les deux cas, cette concurrence joue sur un modèle discount.

Lors de ses vœux aux membres du CCE, Alain Roumilhac a réaffirmé qu’il refusait l’idée d’une stratégie de détachement par l’intermédiaire de filiales Manpower étrangères.
Mais les détachements effectués par ces ETT étrangères sont de plus en plus importants en France donc les employeurs de l’intérim, réunis au sein du Prism’emploi, doivent impérativement lutter contre cette pratique autorisée au niveau européen. Pourtant, leur réaction n’est pas à la hauteur de l’attaque.

Nous attendons que la profession pèse davantage au niveau politique sur les conditions de l’emploi en France et la CFE-CGC est prête à s’engager à ses côtés!
Le Prisme pourrait prendre exemple sur les 3 fédérations majeures du transport routier en créant un régime européen du travailleur hautement mobile pour clarifier la situation sociale à l’international.
En attendant, le discours de certains commerciaux sur cette concurrence sauvage est d’un pragmatisme sans limite. L’un de nos adhérents nous fait
remonter l’exemple de ce patron d’une entreprise de maçonnerie de 6 personnes qui s’est tout simplement vu proposé de licencier tout le monde
pour recourir à un modèle misant à 100% sur le détachement...étranger.

Tous les matins, nos clients reçoivent des propositions à haute teneur en dumping social pour tous types de postes. Beaucoup résistent parce qu’ils tiennent à voir loin en mode collectif mais avec des directions qui cherchent plus que jamais à réduire leurs coûts,combien de temps cette résistance tiendra-t-elle ?

Il est illusoire de penser que c’est en supprimant des agences et des emplois de salariés permanents que l’on peut escompter concurrencer les modèles low cost.
En effet, notre avantage concurrentiel repose, pour reprendre les termes du Prism’Emploi, sur la «densité du maillage d’agences au plus près des problématiques des bassins d’emploi et des entreprises» et sur le «savoir
faire des « permanents »! La CFE-CGC partage cette analyse et s’étonne que les orientations stratégiques de Manpower aillent à contre sens de cet avantage concurrentiel?

De même que les gains offerts par le CICE aillent dans la poche des actionnaires au détriment des
salariés?
Tout comme la Direction dit halte au dumping social des intérimaires, la CFE-CGC dit HALTE AU DUMPING SOCIAL DES PERMANENTS!

lundi 9 mars 2015

Une réponse sénatoriale précise les conditions d’assujettissement des groupements d'employeurs à la taxe travailleurs handicapés




Question écrite n° 12111 de M. Jean-Luc Fichet (Finistère - SOC)
publiée dans le JO Sénat du 18/02/2010 - page 365

M. Jean-Luc Fichet attire l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville, sur les problématiques juridiques liées à la reconnaissance du temps de travail effectué par des salariés handicapés d'un groupement d'employeurs (GE). 
La Délégation générale à l'Emploi et à la Formation professionnelle (DGEFP) assimile les groupements d'employeurs aux entreprises intérimaires et, selon le règlement de ces dernières, les heures de présence des salariés peuvent être comptabilisées au prorata du temps de présence. Toutefois, il n'existe pas de clarification officielle concernant ce principe, ce qui permet à certaines directions du travail d'apporter une autre version quant à la façon de définir un groupement d'employeurs. 
En effet, certaines directions considèrent que les GE doivent répondre aux critères définis par les textes sur « la mise à la disposition » de l'entreprise par une entreprise extérieure. Or il s'avère que ces textes ne correspondent pas au fonctionnement classique des groupements d'employeurs. 
Aussi, il serait nécessaire de voir la DGEFP notifier clairement ce principe selon lequel les salariés des groupements d'employeurs doivent être enregistrés de la même manière que ceux des entreprises intérimaires. 
En conséquence, il lui demande quelles sont les dispositions qu'il compte prendre afin de voir les groupements d'employeurs être assimilés aux entreprises intérimaires. 
Transmise au Secrétariat d'État chargé de l'emploi


Réponse du Secrétariat d'État chargé de l'emploi
publiée dans le JO Sénat du 19/08/2010 - page 2130

L'attention du Gouvernement a été appelée sur les règles à prendre en compte pour déterminer, dans le cadre de l'obligation d'emploi des travailleurs handicapés (OETH), l'effectif d'assujettissement d'un groupement d'employeurs sur lequel est calculé son quota. Après avis de la direction générale du travail compétente en matière de groupements d'employeurs, il a été précisé dans une note de service en date du 29 mars 2010, diffusée à toutes les directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi en charge du contrôle de l'OETH, qu'un groupement d'employeurs est une structure qui réunit plusieurs entreprises. Son but est de recruter un ou plusieurs salariés sous contrat à durée indéterminée et de le ou les mettre à disposition de ses membres selon leurs besoins. Ces salariés ont la qualité de salariés permanents du groupement. Un groupement d'employeurs est constitué sous forme d'association régie par la loi de 1901 (art. L. 1253-19 du code du travail). Comme tout employeur de droit privé occupant au moins vingt salariés, il est soumis à l'OETH. Pour la prise en compte des salariés mis à disposition, un groupement d'employeurs est considéré comme une entreprise extérieure mettant à disposition du personnel dans une ou plusieurs autres entreprises. Il convient donc d'appliquer les règles de l'article L. 1111-2(2°) du code du travail, qui prévoient notamment que [...] les salariés mis à la disposition de l'entreprise par une entreprise extérieure qui sont présents dans les locaux de l'entreprise utilisatrice et y travaillent depuis au moins un an, sont pris en compte dans l'effectif de l'entreprise à due proportion de leur temps de présence au cours des douze mois précédents ». Toutefois, ces mêmes salariés « sont exclus du décompte des effectifs lorsqu'ils remplacent un salarié absent ou dont le contrat de travail est suspendu, notamment du fait d'un congé de maternité, d'un congé d'adoption ou d'un congé parental d'éducation ». Dans ces conditions, un salarié mis à disposition est pris en compte dans l'effectif de l'établissement utilisateur s'il remplit les trois conditions cumulatives suivantes : être présent dans l'établissement utilisateur au jour du décompte (soit le 31 décembre de l'année d'exercice pour le calcul de l'effectif d'assujettissement), depuis au minimum un an, et ne pas remplacer, dans cet établissement, un salarié absent ou dont le contrat de travail est suspendu. La condition de présence dans les locaux de l'établissement induit que le salarié soit présent effectivement dans l'établissement utilisateur au jour du décompte (le 31 décembre), c'est-à-dire qu'il soit encore lié à cet établissement et qu'il travaille dans ses locaux ; la période d'un an n'a pas à être continue : il peut s'agir de plusieurs périodes additionnées, avec ou sans coupures. Ce même salarié peut être décompté, lorsqu'il remplit les conditions visées ci-dessus, même s'il a effectué des tâches différentes dans l'établissement. Par contre, c'est bien le salarié qui compte et non son affectation. Si plusieurs salariés mis à disposition se succèdent sur un même poste mais sans remplir individuellement les conditions, notamment la présence pendant un an dans l'établissement utilisateur, ils ne sont pas décomptés. Il convient de noter que ce salarié est également comptabilisé dans l'effectif de l'établissement qui le met à disposition. En effet, l'article L. 1111-2 du code du travail ne prévoit pas d'exclusion en matière de décompte des effectifs.